L’Américain Jules Olitski met au point à partir de 1964 un processus de pulvérisation de la peinture et des pigments sur la toile, lui permettant de structurer la surface et de jouer avec la profondeur de la peinture grâce à l’emploi d’un pistolet. Après avoir représenté les États-Unis à la Biennale de Venise deux ans plus tard, il poursuit ses expérimentations et fait évoluer cette technique, lui qui souhaitait que la couleur puisse flotter dans l’air.