Daniel Dezeuze, Toile ajourée, toile découpée, 1967, 195 x 130,2 cm

Daniel Dezeuze

Chez Daniel Dezeuze, dont la réflexion engagée sur la peinture « se conjugue avec une admiration pour les travaux des minimalistes américains », la découpe de la toile annonce dès 1967 la volonté de rompre avec la « surface-écran » du tableau et de « se confronter à l’espace réel », laissant ainsi apparaître le châssis.

Collection Fondation Gandur pour l'Art

Pour plus d’information : un catalogue a été publié à l’occasion de l’exposition Au cœur de l’abstraction. Collection Fondation Gandur pour l’Art
Edition : Fondation Maeght
Préfaces : Adrien Maeght et Jean Claude Gandur
Textes : Yan Schubert et Lucie Pfeiffer
Reproductions couleurs de toutes les œuvres
184 pages

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